Assemblée requise : La démocratie à l’Île-du-Prince-Édouard fête ses 250 ans
Il y a deux cent cinquante ans, le gouverneur de l’« isle Saint-Jean » (aujourd’hui l’Île-du-Prince-Édouard) rassemblait les 18 hommes de la colonie qu’il considérait comme seuls « représentants respectables », potentiellement, pour sa première assemblée élue. En l’espace de deux jours, ils ont adopté 13 lois, dont notamment des mesures d’approbation rétroactives prises par le gouverneur au cours des trois années précédentes, et une loi, applicable à tous, exigeant l’approbation du gouverneur pour quitter l’île. C’était un début peu reluisant pour la démocratie à l’Île-du-Prince-Édouard, mais cela a ouvert la voie à ce qui allait devenir une province prospère. Dans cet article, l’auteur évoque les premiers jours de la démocratie à l’Île-du-Prince-Édouard.
Sean McQuaid